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Amala Dianor

Wo-Man

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Pour la jeune danseuse Nangaline Gomis, Amala Dianor crée

Wo-man, une version féminine inspirée de son solo Man Rec, solo iconique et intime du chorégraphe qui inscrit les fondations de sa danse hybride, mêlant danse africaine, hip hop et contemporain.

 

Avec Wo-man, Amala Dianor, plutôt qu’une reprise de son solo, imagine à la fois une transmission et une recréation incarnant la part féminine d’un artiste aux influences et racines plurielles. Nangaline offre à l’auteur de se transposer dans un autre corps que le sien, pour réinscrire, reconstruire, réinventer son histoire.

 

Ce solo résonne comme une extension, un prolongement de soi-même qui s’appuiera sur la tonicité, la vitalité et la ferveur d’une jeune interprète engagée.

Sam. 17 septembre à 21h15
Durée 20'
Tour Royale
Toit

Avenue de la Tour Royale

83000 Toulon


 

Note d'intention

Amala Dianor réfléchit depuis longtemps à la manière de transmettre son solo « Man Rec », créé en 2014 et qui ne cesse de tourner depuis sa création, totalisant plus d’une centaine de représentations dans le monde. Imprégné de toutes ses influences techniques (hip hop, danse contemporaine et africaine…), ce solo représente le manifeste intime du chorégraphe où se déploie la trame d’une écriture
hybride et singulière, à la fois dépouillée et complexe, abstraite et incarnée, énergique et tranquille.
C’est sa rencontre avec Nangaline Gomis en 2018 qui lui inspire aujourd’hui « Wo-Man ». Alors danseuse en formation au Conservatoire National Supérieur de danse de Lyon, elle avait sollicité le chorégraphe pour reprendre un extrait de « Man Rec » dans le cadre de ses études. Deux jours de studio ensemble et une mention très bien à l’examen, et puis chacun a repris sa route. Mais l’idée d’une transmission plus longue à cette jeune danseuse extraordinaire et, elle aussi, franco-sénégalaise, infuse doucement, comme une évidence.
En 2020, Amala Dianor, plutôt qu’une reprise de son solo, imagine un prolongement de la chorégraphie, une recréation pour une jeune femme. Interprète à l’énergie pulsatile, la danseuse offre à l’auteur de se transposer dans un autre corps que le sien, pour réinscrire, reconstruire, réinventer son histoire. Ce solo résonne comme une extension, un prolongement de soi-même qui s’appuiera sur la tonicité, la vitalité et la ferveur d’une jeune interprète engagée.
« Man » signifie « moi » en Wolof. « Man Rec », c’était « moi seulement ». « Wo-Man » sera ainsi la version féminine de ce « moi » choral, riche d’influences diverses, de racines plurielles.

Amala Dianor

Danseur hip-hop, Amala suit en 2000 une formation au CNDC d’Angers et travaille par la suite comme danseur interprète pour des chorégraphes aux univers très différents (néoclassique, contemporain, afro, hip hop). Au cours de ces années, il construit son écriture et passe d’une technique à une autre avec virtuosité. Au sein du collectif C dans C, il chorégraphie et interprète ses premières pièces. Il crée en 2012 la compagnie qui portera son nom et enchaîne la création de pièces dont la première en 2012 Crossroads (2ème et 3ème prix Reconnaissance). Après une résidence de trois ans au Théâtre Louis Aragon de Tremblay en France, il est actuellement artiste compagnon du Centquatre (Paris) et du CDCN Pôle Sud à Strasbourg jusqu’en décembre 2018 dans le cadre du dispositif financé par le Ministère de la Culture.

Dans la presse

« Nous avons créé tous les deux Wo-man pendant le confinement à la Maison de la danse de Lyon. C’était beaucoup moins difficile que pour Man Rec, qui avait été un processus solitaire. Je garde un souvenir très laborieux de cette création : je m’étais enfermé seul pendant trois semaines dans un studio pour me confronter à moi-même. Je suis très content du résultat, car cette pièce conserve l’essence du solo original et s’inscrit dans mon projet plus global qui est de révéler les danseuses.eurs tels qu’elles.ils sont sur scène. C’est très rare que je sois pleinement satisfait d’une pièce car je suis exigeant et j’ai du mal à faire abstraction des faiblesses ou défauts d’une chorégraphie. Mais cette fois-ci je me suis laissé transporter par l’interprétation de Nangaline. Elle porte désormais cette danse et j’ai hâte de voir comment, dans quelques années, elle l’aura amenée encore à un autre endroit.  »

Amala Dianor interviewé par Belinda Matthieu pour Ma Culture.fr

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Chorégraphie Amala Dianor

Interprète Nangaline Gomis

Musique originale Awir Léon

 

 

Lumières, régie générale Nicolas Tallec

Costume Laurence Chalou

Direction déléguée Mélanie Roger

Chargée de production Lucie Jeannenot

Régisseur son Ugo Raimbault

Régisseuse lumière Agathe Geffroy

 

Production Cie Amala Dianor I Kaplan

Kaplan I Cie Amala Dianor est conventionnée par l’Etat-DRAC Pays de la Loire, la Région Pays de la Loire et la Ville d’Angers. La Cie Amala Dianor est régulièrement soutenue dans ses projets par l’Institut Français et L’ONDA.

 

La Cie bénéficie du soutien de la Fondation BNP Paribas depuis 2020.

Amala Dianor est actuellement associé à Touka Danses, CDC de Guyane (2021-2024), au Théâtre de Macon, scène nationale (2022-2024) et membre du Grand Ensemble des Quinconces-l’Espal, scène nationale le Mans (2021-2024)

 

Coproduction  Théâtre de la Ville, Paris ; Les Quinconces et L’espal scène nationale le Mans ; Maison de la Danse de Lyon / Pôle Européen Création – DRAC Auvergne Rhône Alpes/ Ministère de la Culture ; Touka Danses, CDCN Guyane ; Bonlieu Annecy scène nationale

Avec le soutien Etat - DRAC Pays de la Loire ; la Ville d’Angers

Accueil en résidence Maison de la danse de Lyon ; Les Quinconces et L’espal scène nationale le Mans ; Théâtre Chabrol, Angers

Crédit photographies Romain Tissot

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